>On a trop vite tendance
à voir la ressemblance,
il est vrai qu’elle pète à l’œil,
avec Barak Obama,
pas avec Abbas Osama.
Il n’attire toutefois pas
l’attention générale
de l’assistance à la fête.
Il danse, perd ses sandales,
pas les pédales et on en rit.
Il sourit, s’en fiche.
Bientôt, il rentrera
au douar, chez lui.